J'étais contente de mon achat : une commode sympa, qui rentrait exactement sous ma cheminée.

Vous vous demandez où est le rapport avec le boulot (ben oui c'est un blog emploi quand même)? C'est simple : nouveau travail = nouveaux sousous = envie de bien s'habiller = shopping = armoire qui déborde = il en faut une nouvelle. Voila CQFD, je parle bien du boulot, là.

Donc, ma commode. Très jolie, grande contenance. Bon, elle était blanche et je la voulais noire, mais c'est pas grave : un pot de peinture et le tour est joué.

Et puis je la monte. Marteau, visseuse dévisseuse...Ikéa, c'est plus ce que c'était. Mais je suis persévérante (oserais je dire têtue?). Et voila, ça y est, c'est fini! Elle est belle, elle tient debout, je peux même m'assoir dessus. Un exploit.

Et là, mon cœur bat plus vite. Un ignoble détail attire mon attention. Au fond de la boite, une vis qui n'a rien à faire là se gondole de rire... Mais qu'est ce qu'elle fiche là elle? J'ai suivi la notice, j'ai tout bien fait! Je balance l'air de rien, un petit coup dans mon meuble histoire de voir s'il tient toujours la route...Ça tient.

Un regard à droite, un regard à gauche...le chat est occupé à dormir...personne ne me verra...

Lâchement, je me rue sur cette fameuse vis et la balance dans la boite à outils, que je referme bien vite. Personne n'a rien vu...

Mais je l'ai sur la conscience. Il restait une vis.

Je prie désormais pour que le gentil monsieur qui prépare les colis de chez ikéa soit prévoyant et ait mis une vis en plus au cas où on en perde une. C'est possible, hein?